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LES VITAMINES

 

    
LES  VITAMINES

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LE HOQUET - SYMPTÔMES - TRAITEMENT

 

Le hoquet : définition, symptômes, traitement

Souvent, le hoquet se dissipe très rapidement. Néanmoins, il peut prendre parfois la forme d'une véritable maladie lorsqu'il dure plus de 48 heures.
Les spécialistes considèrent qu'il s'agit d'un héritage de nos plus vieux ancêtres les poissons et de leur ventilation brachiale ou de la respiration des batraciens. GARO / Phanie /AFP

Qu'est-ce que c'est ?
Le hoquet est un réflexe respiratoire qui se caractérise par une succession de contractions involontaires du diaphragme. Cela provoque des expulsions d'air, associées à une fermeture de la glotte, et la production d'un son : le "hic", bien caractéristique du hoquet.

Comment ça s'explique ?
Le hoquet est provoqué par l'irritation du nerf phrénique, qui est chargé d'innerver le diaphragme.
Un réflexe ancestral...
Les spécialistes considèrent qu'il s'agit d'un héritage de nos plus vieux ancêtres les poissons et de leur ventilation brachiale ou de la respiration des batraciens. Ce réflexe est réutilisé par le cerveau pour défendre l'œsophage. "Dans la grande majorité des cas, il est dû à une acidité de l'œsophage ou un problème au niveau de l'estomac  : un ulcère, des reflux gastriques ou une œsophagite", explique le Pr Jean Cabane.
(Source : Sciences et Avenir, Hugo Jalinière)
Le hoquet, qui dure généralement quelques minutes, peut être déclenché par : un fou rire, une toux, des chatouillements, un repas trop copieux ou trop épicé, un repas ingurgité trop rapidement (une tété trop rapide chez les nourrissons) ou encore le stress.
Quels sont les symptômes ?
Le hoquet se manifeste par un bruit particulier émis par la bouche. Un "hic" incontrôlable qui survient souvent à l'inspiration avec une sensation brusque de contraction de l'abdomen. Le spasme peut se répéter jusqu'à une fois par seconde mais disparaît très rapidement. Chez le nourrisson, il se produit souvent après la tété ou le biberon, et avant que le bébé ne fasse son rot.
Dans des cas plus rares, le hoquet peut être chronique et durer plus de 48 heures.


Que faire en cas de hoquet ?
Il existe de nombreuses méthodes pour faire passer le hoquet. En voici quelques-unes :
• boire de l'eau froide sans respirer,
• inspirer une bouffée d'air et arrêter de respirer,
• modifier son rythme respiratoire (par exemple respirer très lentement).
Comment prévenir le hoquet ?
Pour prévenir le hoquet, il est conseillé de manger léger, peu épicé et dans le calme. En outre, les boissons gazeuses doivent être évitées.
Quand consulter ?
Il est conseillé de consulter un médecin quand le hoquet persiste depuis plus de 48 heures ou devient trop fréquent. Dans ce cas, le médecin pourra alors prescrire des examens pour déterminer les causes d'une éventuelle maladie.
Il faut également consulter un médecin quand le hoquet s'accompagne de douleurs au niveau du ventre, de vomissements ou de difficultés à respirer.
Quelles sont les conséquences ?
Le hoquet s'arrête en général spontanément. Il est sans danger. Quand il devient chronique, il peut être associé à une maladie plus grave, comme l'œsophagite. Le hoquet peut alors être très handicapant dans la vie quotidienne (difficultés pour s'endormir, pour boire, manger...). A long terme, il provoque des insomnies et des troubles alimentaires. En outre, il peut avoir des répercussions importantes sur la vie sociale.
Rédaction : Audrey Pelé

 

 DOCUMENT       sciencesetavenir.fr      LIEN

 
 
 
 

BENZODIAZÉPINE ET ALZHEIMER

 

Une étude française publiée dans la dernière édition du British Medical Journal le confirme : la prise régulière de benzodiazépines sur une période supérieure à 3 mois augmente fortement le risque de survenue de la maladie d'Alzheimer. 


   qu'est-ce que les benzodiazépines ?
Les benzodiazépines sont une classe de médicaments psychotropes, c'est-à-dire qui agissent sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) en modifiant certains processus chimiques naturels (physiologiques), ce qui entraîne des modifications  de la conscience, de l'humeur, de la perception et du comportement.
Les benzodiazépines ont des propriétés anxiolytiques (contre l'anxiété), myorelaxantes (décontractant musculaire), hypnotiques (provoquant le sommeil), antiépileptiques (contre l'épilepsie) et amnésiantes (provoquant des troubles de la mémoire).
Ils sont couramment utilisés dans le traitement de troubles tels que l'anxiété, les spasmes, l'insomnie, les convulsions, l'agitation ou lors d'un sevrage alcoolique.
En quoi l'usage prolongé des benzodiazépines est-il dangereux ?
On sait depuis de nombreuses années que la prise de benzodiazépines au-delà d'1 mois entraîne une accoutumance (besoin d'augmenter les doses pour obtenir le même effet), une dépendance (difficulté voire impossibilité de se passer du produit), et que l'arrêt du traitement peut provoquer un syndrome de sevrage (réapparition des symptômes de façon plus marquée, risque de chute de la tension artérielle, de délire psychotique, d'hallucinations, de convulsions, de malaises, ...).
L'étude menée par Sophie Billioti de Gage, chercheuse à l'Inserm, et son équipe, vient compléter de ce tableau déjà sombre en démontrant que les benzodiazépines augmentent considérablement le risque de développer la maladie d'Alzheimer.
La maladie d'Alzheimer, maladie neurodégérative par excellence, touche près de 900 000 Français.
L'étude de l'équipe de l'Inserm
Les travaux ont porté sur près de 9000 personnes âgées de plus de 66 ans, qui ont été suivies pendant 6 à 10 ans.
Ils ont démontré que la prise quotidienne de psychotropes pendant plusieurs mois augmente le risque de développer une maladie neurodégénérative :
        une prise quotidienne pendant 3 à 6 mois augmente le risque de maladie d'Alzheimer de 30 %
        une prise quotidienne pendant plus de 6 mois augmente le risque d'Alzheimer de 60 à 80 %
Les Français sont particulièrement concernés
La France détient le triste record de championne du monde en matière de consommation de psychotropes (en 2012, près de 12 millions de Français en auraient pris au moins 1 fois).
Les benzodiazépines sont le plus souvent prescrits pour traiter le stress, l'anxiété et les troubles du sommeil : autant de symptômes qui peuvent être pris en charge par des solutions alternatives (phytothérapie, homéopathie, acupuncture, ...), sans oublier que le fait d'"effacer" les symptômes ne résoud pas la question de la cause, et que par conséquent ces symptômes réapparaissent généralement à l'arrêt du traitement.
Ce phénomène entraîne alors une consommation prolongée au-delà des recommandations des autorités sanitaires, qui limitent à 12 semaines maximum ce type de traitement : de nombreux patients prennent des psychotropes pendant des années ...
Conclusion
Cette étude vient confirmer la dangerosité des psychotropes.
Il reste à souhaiter qu'elle sera un facteur déclenchant pour une remise en question de la prescription de ces médicaments qui agissent sur le cerveau :
        en ne les proposant pas en première intention pour traiter un stress, une anxiété, une insomnie, ...
        en limitant strictement leur usage à une durée n'excédant pas 3 mois si le recours à des telles molécules est indispensable.
Les patients, quant à eux, doivent être conscients des risques encourus avec de tels traitements pour s'orienter vers d'autres prises en charge (médecine alternative, psychothérapie).
Liste alphabétique des principaux médicaments à base de benzodiazépines :
Alprazolam Générique
Anxyrex
Ativan
Bartul
Belseren
Bromazépam Générique
Bromiden
Clobazam Générique
Clonazépam Générique
Clozan
Demetrin
Dialag
Diazépam Générique
Dormicum
E-Pam
Euhypnos
Frisium
Halcion
Havlane
Hypnovel
Imeson
Lectopam
Levanxol
Lexomil
Lexotanil
Librax
Librium
Lorazépam Générique
Loridem
Lysanxia
Megavix
Midazolam Générique
Mogadon
Myolastan
Narcozep
Nitrazépam Générique
Noctamide
Noctran
Nordaz
Normison
Novazam
Nuctalon
Oxazépam Générique
Paceum
Panos
Planum
Prazépam Générique
Psychopax
Quietiline
Restoril
Rivotril
Rohypnol
Serax
Serenase
Seresta
Sigacalm
Stesolid
Témazépam Générique
Temesta
Tétrazépam Générique
Tranxène
Tranxilium
Triazolam Générique
Urbanyl
Valium
Veratran
Versed
Vivol
Xanax
Source : Inserm

 

DOCUMENT      vulgaris-medical.com     LIEN

 
 
 
 

SCLÉROSE EN PLAQUE

 


Sclérose en plaque - Causes et diagnostic


Définition
La sclérose en plaques, notée SEP, est la pathologie neurologique non traumatique du système nerveux central la plus fréquente chez les jeunes adultes. Elle se caractérise par une réaction inflammatoire développée contre la myéline du système nerveux central et détériore ainsi la qualité des influx nerveux.
Elle touche 80.000 personnes en France, en majorité des jeunes adultes et des femmes. La SEP est la 1ère cause de handicap non traumatique chez les jeunes adultes. La SEP est une maladie auto-immune, c'est-à-dire une maladie résultant d'un dérèglement du système immunitaire, qui se manifeste par l'action de cellules et d'anticorps sur certains organes, qui sont alors assimilées à des corps étrangers. Le malade fabrique des anticorps contre ses propres tissus appelés les auto-anticorps.Dans le cas de la SEP, le système immunitaire de la personne malade réagit contre la myéline et la neutralise comme s'il s'agissait d'un corps étranger.

Causes
La sclérose en plaques n'est pas réellement une maladie héréditaire même s'il existe une prédisposition génétique car il est fréquent de rencontrer plusieurs cas dans une même famille. Le risque de développer une SEP pour les enfants ou les frères et soeurs d'un patient atteint de SEP est relativement faible, de l'ordre de 2% à 4% maximum. La sclérose en plaques n'est pas une maladie infectieuse mais l'influence de certains virus de l'enfance qui pourraient favoriser cette réaction immunitaire est une hypothèse qui n'est pas exclue. La répartition de la SEP est différente selon les régions du monde : en effet, la SEP est plus fréquente en Europe du Nord e Europe Centrale qu'en Europe du Sud ou en Afrique. Cette différence pourrait expliquer l'influence de l'environnement sur le déclenchement de la maladie. La maladie est plus fréquente chez les populations qui vivent dans des zones tempérées, ainsi que chez les personnes qui passent leur enfance dans ces régions. En revanche, on a constaté que la sclérose en plaques est moins fréquente chez des individus issus de ces régions tempérées mais ayant grandi ailleurs. Le stress, les traumatismes et les interventions chirurgicales pourraient favoriser les poussées de SEP
Physiopathologie
La SEP se caractérise par une réaction inflammatoire du système immunitaire développée contre la myéline du système nerveux central provoquant une perte de cette substance. La myéline entoure les nerfs ou fibres nerveuses qui transmettent les informations du cerveau aux membres inférieurs et supérieurs et au visage. Elle est alors remplacée par un tissu cicatriciel appelée sclérose. Des millions de fibres nerveuses sont atteintes en plusieurs endroits du SNC, d'où le terme de plaques donnant ainsi le nom de sclérose en plaques à cette pathologie.


Conséquences
Lorsque cette gaine de myéline est lésée, la transmission des influx nerveux est endommagée.Ces plaques cicatricielles altèrent la transmission des influx nerveux provoquent divers symptômes selon les zones atteintes et entrainant des troubles moteurs, sensitifs, cognitifs, visuels... La maladie évolue par poussées dans la majorité des situations, provoquant l'apparition de diverses manifestations neurologiques qui régressent totalement ou partiellement en quelques semaines
Diagnostic
Confirmer le diagnostic d'une SEP le plus précocement possible permet de mettre en place rapidement un traitement. En effet, le traitement précoce d'une première poussée isolée peut prévenir ou retarder l'apparition d'autres poussées plus handicapantes. Consulter un neurologue est la première attitude devant la suscipicion d'une SEP comme l'apparition des premières manifestations. Le diagnostic de la SEP est avant tout déjà évoqué lors de la description au cours de l'interrogatoire des manifestations présentées par le patient. L'examen neurologique permet de vérifier la présence ou l'absence de réflexes ostéotendineux, et des mouvements oculaires, la force des membres, la sensibilité et de vérifier la bonne coordination.

L'IRM permet de visualiser le cerveau, la moelle épinière ainisi que les zones où la myéline a été détruite. Les lésions de SEP sont souvent multiples atteignant les deux hémisphères cérébraux. Elles sont souvent asymétriques et leur taille varie de quelques millimètres à quelques centimètres.

Une ponction lombaire peut permettre de confirmer le diagnostic, si on repère une augmentation des anticorps. Ce geste permet de prélever du Liquide céphalo-rachidien afin de l'analyser. L'analyse du Liquide céphalo-rachidien, LCR, permet d'aider au diagnostic de SEP. La présence d'immunoglobulines G, les IgG dans le LCR qui forment de petites bandes caractéristiques appelées bandes oligoclonales, est caractéristique d'un processus inflammatoire limité au système nerveux central.

Les potentiels évoqués mesurent la vitesse de conduction dans les diverses parties du système nerveux. Les signaux nerveux sont ralentis et plus faibles dans les fibres atteintes au cours de la SEP par rapport à la fibre normale. La mesure des potentiels évoqués visuels, PEV, mesurant la vitesse de conduction dans les fibres qui relient la rétine à la zone de vision du cerveau peut mettre en évidence des lésions des nerfs optiques.

Sources : MIPSEP, Med.univ-rennes
Evolution
Les symptômes d'une sclérose en plaques font leur apparition sous forme de poussée d'au moins 24 heures à quelques jours puis diminuent d'intensité et peuvent même disparaître. Les symptômes varient selon les endroits où le système nerveux central est touché.

 

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